Si, en réorganisant le calendrier de l’année scolaire et repoussant la fin de cet exercice en Août 2018, le gouvernement a cru bien faire en sauvant les élèves du Togo d’une année blanche, il ne faut pas perdre de vue l’autre problème qui peuvent se poser surtout pour les établissements scolaires privés et leurs élèves.

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C’est donc pour attirer l’attention sur ces problèmes qu’un responsable, de l’UFEPLAT (Union des Fondateurs des Ecoles Privées Laïques du Togo) en la personne d’Alexandre Adognon est monté au créneau ce jour chez nos confrères de Nana Fm.

Commentant cette réorganisation, il a assené dans un premier temps, «  »nous avons des problèmes » ». Et ces problèmes sont à deux niveaux : il y a celui au niveau des élèves et ensuite, celui portant sur le contrat même liant les propriétaires d’établissement et les enseignants.

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De l’avis de M. Adognon, «  »les élèves ont besoin de psychologues pour leur remonter le morale vu qu’ils sont obligés d’aller jusqu’à plus de deux mois et demi de révision au lieu d’un mois et demi » ». Et pour ce qui est du contrat liant les fondateurs d’école et enseignants, il juge qu’ «  »il y aura un problème financier de gestion des contrats avec les enseignants » ».

Comme quoi, l’année scolaire est sauvée, c’est l’essentiel, mais, cette opération de sauvetage n’a pas fait que des heureux.

Source :telegramme228.com

Titre modifié 

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