Mardi, Gilbert Bawara, ministre en charge de la Fonction publique a dû être franc peut-être, une première depuis le début de ce micmac entre gouvernement et enseignants, un cycle de promesses, insatisfactions, grèves, élèves dans les rues, un jeu qui occulte l’avenir des enfants.

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S’exprimant donc au nom du gouvernement et cité par Togotopnews, Gilbert Bawara estime , montre aux yeux de l’opinion que la situation des enseignants, avec leur plateforme revendicative, dépasse les autorités togolaises.

« Les syndicats ont des agendas et des objectifs qui nous dépassent. Ces responsables des syndicats, qu’il s’agit de M. Atsou Atcha et des autres, ont participé aux discussions à la SAZOF ; mais cela ne les a pas empêché dans un esprit de populisme et de surenchère de mettre encore sur une plateforme revendicative justifiable, les sujets dont ils savaient qu’ils ont été traités de fond en comble lors des discussions », a-t-il indiqué.

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Une déclaration qui peut être vue de l’autre côté comme une provocation, à partir du moment où les deux protagonistes se seraient accordés la semaine dernière sur l’ouverture d’un nouveau cadre de discussions pour régler d’une façon durable les revendications des enseignants.

 
source :www.icilome.com

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