La crise du « Gnassingbéland » est arrivée à un point où il faut que chaque citoyen prenne ses responsabilités. Les tenants de l’ordre ancien pensent détenir le titre foncier sur notre rectangle de pays. A chaque fois, qu’ils en ont l’occasion, ils narguent les honnêtes citoyens qui portent en bandoulière la pauvreté et la misère au quotidien.
Lire aussi :Crise au Togo: la CEDEAO perd déjà ses repères
Les travaux du Comité de suivi des recommandations de la « Cédé-Yawo » pour une sortie de crise se sont terminés en « queue de baleine » mardi à Lomé. Nombreux étaient les « Gnassingbélandais » qui espéraient que quelque chose de potable sorte de cette réunion. Mais immense fut leur déception.
Les partisans du statu quo ont une fois étalé leur mauvaise foi à la face du monde. Ils ont rivalisé d’ardeur pour blesser les « Gnassingbélandais » dans leurs âmes déjà meurtries.

Les paroles de la « dépité » « p-UNIR », Chantal Djigbodi Yawa Tsègan donneront longtemps des insomnies aux gens. « Nous sommes là et ceci pour longtemps. Vous ne pouvez rien contre nous. Continuez à tromper les Togolais », a-t-elle à la face des opposants.
Comme dirait quelqu’un « chaque femme qu’on instruit est une nation qu’on gagne ». Mais manifestement, cette assertion ne sied pas à toutes les femmes. Dame Yawa Tsegan est le mauvais exemple à ne pas suivre. Elle est une vraie calamité pour son parti.
Lire aussi :Législatives 2018: la consigne secrète de Faure Gnassingbé à la CENI
Néanmoins, nous rappelons à cette « Calamity Jane » que le 228 n’appartient pas aux seuls militants de l’oiseau bleu sans pattes, mais à tous les « Gnassingbélandais ». Si cette dame est née avant la honte et le respect, elle n’a qu’à penser à remuer plusieurs fois sa langue avant de lancer ses fadaises qui n’honorent pas leur « grand » parti. Pff…
Source: Liberté N°2754 du 13 Septembre 2018

Restez à jour en vous abonnant à notre canal Telegram.

Tu pourrais aussi aimer

Laisser un commentaire

Plus dans:Opinions