La rencontre entre le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé et les responsables de ce qui reste de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition, vient d’être confirmée par un communiqué du gouvernement. Pour l’heure, la coalition n’a pas fait de déclaration.

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On retient du document gouvernemental que le chef de l’Etat a prodigué d’utiles conseils à ses adversaires politiques. « Le Président de la République a invité ses interlocuteurs à s’engager davantage pour l’enracinement de la démocratie et la consolidation de la paix dans notre pays », indique-t-il.

Fait-il allusion aux derniers développements de l’actualité sociopolitique qui a conduit des Togolais à mourir, à être grièvement blessés ? D’autres sont encore en prison pour avoir manifesté dans les rues contre le pouvoir en place.

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Les 2 ténors de la coalition n’ont pas fait partie de la délégation. Il s’agit de Jean-Pierre Fabre, président de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) et de Brigitte Adjamagbo Johnson, coordinatrice de la coalition qui se trouve depuis quelques jours aux Etats-Unis pour des raisons professionnelles.

La délégation de l’opposition a été conduite par Antoine Folly, délégué général de l’Union des démocrates socialistes du Togo (UDS-Togo). Il a été accompagné par Me Dodji Apevon des Froces démocratiques pour la République (FDR), de Professeur Komi Wolou du Pacte socialiste pour le renouveau (PSR), de Professeur Aimé Gogué de l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI), de Sambiri Targone du parti DSA et de Pascal Adoko de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA).

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Les deux (2) partis, selon le document, ont discuté des ‘questions d’intérêt national’, notamment, les mesures d’apaisement, la poursuite des réformes constitutionnelles et institutionnelles, les futures échéances électorales et la culture d’un climat de paix.

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