Le chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé prend part depuis ce mardi à la 73ème Assemblée générale des Nations Unies à New York aux Etats-Unis. Sur son compte Twitter, le président togolais fait savoir qu’il échangera, au cours de cette assemblée, avec ses pairs du monde entier des questions de paix, de lutte contre le terrorisme, d’éradication des armes.

Restez à jour en vous abonnant à notre canal Telegram.


Il se fera également remarquer à une autre grande rencontre en marge des travaux de cette Assemblée générale : la 2ème édition du ‘One Planet Summit’ sur le thème : «accélérons la mise en œuvre de l’accord de Paris, en mettant la finance au service de l’action climatique » et où, selon les informations, le président français, Emmanuel Macron l’y a convié.
Lire aussi:Togo, Confidentiel : Discrète rencontre entre Faure Gnassingbé et Muhammadu Buhari
A en croire un communiqué de la présidence togolaise, le choix porté sur M. Gnassingbé pour participer à cette rencontre découle de son engagement de lutte contre le réchauffement climatique.
« La présence du chef de l’Etat à cette concertation où il s’exprimera aux côtés de personnalités comme Bill Gates, fondateur de Microsoft, témoigne de la reconnaissance de son leadership africain en matière de lutte contre le réchauffement climatique », indique le document.
 
Faure Gnassingbé, dit-on, est le seul président africain à être convié à ce sommet sur la planète. Et cause, souligne-t-on, le projet ‘CIZO’ lancé en 2017 pour booster l’électrification rurale à travers des kits solaires, ce qui atteindra 2 millions de personnes, a déjà permis de raccorder plus de 300.000 ménages.
Mais le chef de l’Etat togolais n’est pas le seul Togolais à cette rencontre internationale annuelle. Il y est attendu par des Togolais de la diaspora qui ne sont pas acquis à sa cause. Sur une vidéo qui circule déjà sur les réseaux sociaux, des hommes et femmes, en sit-in non loin du siège des Nations Unies, scandent ‘Faure must go’.
Lire aussi:«Vingt gendarmes pour un (1) gréviste de la faim »
Le n°1 Togolais, au pouvoir depuis 2005 et élu en 2015 pour un 3ème mandat, fait l’objet depuis août 2017 d’une vague de contestation initiée par un jeune parti politique, le Parti national panafricain (PNP).

Tu pourrais aussi aimer

Laisser un commentaire

Plus dans:News