Le dialogue politique togolais qui s’ouvre le 15 février prochain, fera l’objet, selon les informations, d’une cérémonie d’ouverture solennelle en présence de certains chefs d’Etat de la sous-région.

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La véritable question qui se pose depuis des jours, c’est l’inclusivité ou non de ce dialogue qui doit prendre en compte la crise sociopolitique qui secoue le Togo depuis le 19 août 2017. Pour la coalition des 14 partis politiques de l’opposition, protagoniste de la crise, le débat sur l’inclusivité du dialogue n’existe pas.

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Selon Ouro-Akpo Tchagnaou, député de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) intervenant ce vendredi sur la radio Nana FM, la question a déjà été discutée avec le médiateur ghanéen. A partir du moment où il y a deux protagonistes à la crise, à savoir le régime de Faure Gnassingbé qui pour lui, a conduit le Togo depuis 50 ans dans la situation où il est, et le groupe des 14, la question ne se pose même plus.

L’acteur dit avoir des raisons « personnelles » pour réfuter cette idée mais qu’il n’entend pas rentrer dans les détails. A trop vouloir intégrer tout le monde autour de la table, souligne ce responsable de l’ANC, on risque d’ouvrir une « boîte à pandore » et de transformer le prochain dialogue en « conférence nationale bis » avec toutes les conséquences qui peuvent en découler.

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