Face à la presse ce mercredi, les responsables en charge de la sécurité présentent trois braqueurs et une douzaine d’individus qualifiés de délinquants. En tout, les investigations du Groupe d’Intervention de la Police Nationale (GIPN) ont permis de saisir 50 munitions de calibres, deux pistolets automatiques et une boîte à munitions de 50 cartouches (déjà utilisées).

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L’arrestation des concernés est possible grâce au démantèlement du réseau et à l’arrestation d’un principal. C’était le 17 mai 2019 à la frontière d’Aflao. Il était en possession de 50 munitions de calibres 7,65 mm. Les douzaines de délinquants font partie d’un groupe de personnes arrêtées lors des opérations « coups de points » dans des ghettos dans trois quartiers (Amoutivé, Nukafu et Tokoin Eyonam).

Dans les détails, trois individus, tous des repris de justice, n’ont pas nié les faits. Ils avouent avoir commis plusieurs braquages ces dernières semaines à Lomé:chez les commerçants ivoiriens, près du foyer des ivoiriens, à Aguiarh Comé et sur le pavé d’Atikpodji.

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Les munitions utilisées lors des braquages à Akodesséwa et dans d’autres localités de Lomé, correspondent aux munitions saisies lors des perquisitions, a fait savoir la police. Elle précise que « l’exploitation de leurs téléphones portables a permis de découvrir qu’ils avaient planifié plusieurs braquages, qui ont été déjoués ».

Rappelons que, des braquages spectaculaires sont réels ces derniers temps en pleine capitale. Et très souvent, ce sont des individus qui sont allés faire des retraits à la banque qui sont ciblés. Dans la plupart des cas, les malfrats sont à bord de moto

AYL

Togotimes

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